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A poil, Nessus !

21 mars 2024

Valoriser sa maison par la décoration

Dans le domaine de l'immobilier, la valeur d'un bien dépend souvent de divers facteurs, dont l'emplacement, la taille et les équipements. Cependant, un élément généralement négligé qui contribue de manière substantielle à la valeur d'une maison est sa décoration intérieure, qui englobe les peintures, les couleurs et les papiers peints. Au-delà de l'apparence, ces éléments jouent un rôle essentiel dans la création de l'ambiance, de la personnalité et de la valeur identifiée d'un bien immobilier. Cet essai examine comment une décoration intérieure innovante peut augmenter la valeur d'une maison, à la fois sur le plan esthétique et sur le plan financier.

La décoration intérieure d'une maison sert d'identification visuelle et laisse une impression durable aux habitants et aux visiteurs. Les peintures, les teintes et les papiers peints constituent la base de ce récit visible et donnent le ton à l'ensemble de l'espace. Une palette de couleurs bien coordonnée peut donner un sentiment d'équilibre et de cohésion, Fac Simili rendant les chambres à coucher plus accueillantes et visuellement satisfaisantes. Par exemple, des teintes confortables comme le beige doux ou les tons terreux peuvent conférer un environnement douillet aux espaces de vie, tandis que des teintes plus froides comme le bleu doux ou la menthe écologique peuvent évoquer une atmosphère rafraîchissante dans les chambres ou les salles de bains.

En outre, les papiers peints offrent des possibilités infinies pour ajouter de la texture, de la routine et de la profondeur aux espaces intérieurs. Que l'on opte pour des modèles géométriques audacieux ou des motifs botaniques délicats, les papiers peints peuvent transformer des surfaces murales banales en points d'intérêt. Le choix judicieux des papiers peints peut refléter la personnalité du propriétaire, ses activités et ses préférences en matière de mode de vie, conférant ainsi du caractère et du charme à l'espace.

Au-delà de leur charme esthétique, les éléments de décoration intérieure apportent les caractéristiques et la fonctionnalité d'une maison. Le choix des couleurs, par exemple, peut influencer la durabilité et les spécifications d'entretien des espaces. Les peintures de haute qualité avec des finitions lavables en machine ou récurables non seulement résistent à l'usure quotidienne, mais facilitent en outre un nettoyage simple, garantissant ainsi que l'intérieur reste parfait au fil du temps.

De la même manière, les papiers peints peuvent avoir une double fonction : ils peuvent non seulement embellir les murs, mais aussi dissimuler les défauts ou les surfaces irrégulières. Les papiers peints texturés, y compris les motifs en toile d'araignée ou en lin, peuvent camoufler des défauts mineurs tout en conférant un intérêt tactile à la pièce. De plus, les papiers peints peuvent être utilisés intelligemment pour définir des zones distinctes dans un espace à stratégie ouverte ou même pour créer des illusions graphiques de hauteur ou de profondeur, optimisant ainsi la conception et la circulation de l'intérieur.

Les couleurs et les motifs utilisés dans la décoration intérieure ont un impact psychologique puissant sur les occupants, influençant leur humeur, leur comportement et leur bien-être général. Des études ont montré que certaines couleurs évoquent des émotions et des réponses spécifiques, façonnant ainsi l'idée que l'on se fait d'un espace. Par exemple, les couleurs chaudes comme les rouges et les oranges sont associées à l'énergie et à la vitalité, ce qui les rend appropriées pour les espaces sociaux comme les salles à manger ou les bureaux dans lesquels la productivité est souhaitée.

En revanche, les teintes plus froides comme les bleus et les plantes ont un effet apaisant, annonçant la détente et la tranquillité dans les chambres à coucher ou les coins lecture. En incorporant tactiquement ces couleurs dans la décoration intérieure, les propriétaires peuvent créer des conditions propices à leurs activités préférées et à leurs revendications émotionnelles. En outre, les papiers peints avec des motifs influencés par la nature ou des paysages pittoresques peuvent évoquer des sentiments de sérénité et de connexion avec le grand air, ce qui favorise les sentiments de confort et de bien-être à l'intérieur de la maison.

Les avantages esthétiques et psychologiques de la décoration d'intérieur sont incontestables, mais ils se traduisent également par des bénéfices financiers tangibles pour les propriétaires. Un intérieur bien décoré ne se contente pas d'accroître la désirabilité d'une maison, il en augmente aussi la valeur marchande. Les acheteurs potentiels sont souvent prêts à payer un prix raisonnablement limité pour des résidences qui présentent des choix stylistiques de bon goût et une qualité irréprochable, ce qui maximise le retour sur investissement du vendeur.

En outre, investir dans des peintures, des couleurs et des papiers peints de haute qualité peut prolonger la durée de vie des surfaces intérieures, réduisant ainsi la nécessité de procéder à des rénovations ou à des réparations fréquentes. Cela permet non seulement aux propriétaires d'économiser de l'argent à long terme, mais aussi d'augmenter la valeur de revente de la maison en protégeant son attrait esthétique et son intégrité structurelle. En outre, les maisons décorées avec soin ont tendance à attirer plus d'acheteurs potentiels et à se vendre plus rapidement sur le marché, ce qui renforce encore leur valeur économique.

La décoration intérieure joue un rôle crucial dans l'augmentation du prix d'une maison, tant sur le plan esthétique que financier. En utilisant efficacement les peintures, les couleurs et les papiers peints, les propriétaires peuvent créer des intérieurs visuellement spectaculaires qui reflètent leur personnalité tout en optimisant la fonctionnalité et le luxe. Au-delà des simples embellissements, ces facteurs contribuent à l'ambiance générale et au prix perçu d'une propriété, ce qui la rend plus attrayante pour les acheteurs potentiels et permet d'obtenir des retours sur investissement considérables. Investir dans la décoration intérieure n'est donc pas seulement un moyen d'embellir les espaces de vie, mais aussi un choix stratégique qui peut augmenter la valeur d'une maison pour les années à venir.

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2 février 2024

Le Désert du Rajasthan : Un Monde Mystique de Sable et de Culture

Le Désert du Rajasthan, situé dans le nord-ouest de l'Inde, est une région d'une beauté époustouflante qui fascine par son mélange de paysages désertiques arides et de richesse culturelle. Cette étendue sauvage de sable et de roche s'étend sur des centaines de kilomètres carrés, offrant un aperçu unique de la majesté et de la diversité de la nature, ainsi que des traditions anciennes qui perdurent depuis des siècles.

Le désert du Rajasthan est caractérisé par ses vastes étendues de sable doré, entrecoupées de dunes ondoyantes qui semblent s'étendre à perte de vue. C'est un paysage impitoyable, où les températures peuvent atteindre des sommets étouffants pendant la journée et chuter drastiquement la nuit. Les dunes de sable, en particulier dans la région de Jaisalmer, sont parmi les plus hautes et les plus impressionnantes au monde, créant un panorama d'une beauté à couper le souffle.

Pourtant, malgré son apparence inhospitalière, le désert du Rajasthan abrite une variété surprenante de vie. Des espèces adaptées à des conditions extrêmes, telles que le léopard, le renard du désert, et le serpent à sonnette, ont trouvé refuge dans cet environnement hostile. Les voyageurs qui explorent le désert peuvent être témoins de la beauté mystique de ces créatures résilientes, ainsi que des oiseaux exotiques qui survolent les cieux au crépuscule.

Au cœur de cette aridité, les oasis surgissent comme des joyaux précieux. Les oasis du Rajasthan sont des trésors cachés, où l'eau douce jaillit du sol pour soutenir une végétation luxuriante. Ces oasis sont souvent le point de départ de petites communautés agricoles qui ont appris à vivre en harmonie avec les caprices du désert. L'irrigation traditionnelle, telle que le système de puits à échelle, est utilisée pour cultiver des cultures telles que le millet, le blé et le sésame. Ces oasis sont un exemple poignant de la ténacité humaine face à des conditions environnementales extrêmes.

La culture du Rajasthan est tout aussi captivante que ses paysages désertiques. Cette région est le berceau de la riche tradition rajput, une caste de guerriers et de rois qui ont laissé leur marque indélébile sur l'histoire et la culture de l'Inde. Les forteresses en grès rouge, telles que le majestueux Fort de Jaisalmer, se dressent comme des symboles de la grandeur passée de cette dynastie. Les palais somptueux, les temples magnifiques et les bazars animés donnent un aperçu de l'héritage architectural et artistique du Rajasthan.

Le désert du Rajasthan est également connu pour son art et son artisanat, qui sont un témoignage vivant de la créativité et de la dextérité des habitants. Les tapis tissés à la main, les broderies élaborées, les bijoux en argent finement ciselés et les poteries colorées sont autant de trésors qui témoignent de l'artisanat traditionnel de la région. Les villages artisanaux disséminés à travers le désert sont des endroits fascinants à visiter pour découvrir ces métiers d'antan.

Le désert du Rajasthan est également le théâtre de festivals vibrants qui célèbrent la culture et les traditions de la région. Le festival de Pushkar est l'un des événements les plus célèbres, où des milliers de pèlerins convergent vers la ville sainte de Pushkar pour se baigner dans les eaux sacrées du lac et participer à des foires aux bestiaux animées. Le festival du désert de Jaisalmer, quant à lui, est une célébration animée de la musique, de la danse et des coutumes locales, avec des compétitions de turban, des courses de chameaux et des spectacles en plein air.

Le désert du Rajasthan n'est pas seulement un lieu de découverte culturelle, mais aussi une destination pour l'aventure. Les amateurs de trekking et de randonnée peuvent explorer les dunes de sable et les chaînes de montagnes qui ponctuent la région. Les excursions en chameau, emblématiques du Rajasthan, permettent aux voyageurs de parcourir le désert à la manière des caravanes anciennes, offrant une expérience inoubliable.

Pourtant, malgré la beauté et la richesse culturelle du désert du Rajasthan, il est important de reconnaître les défis auxquels cette région est confrontée. Les ressources en eau sont rares, et la désertification menace de plus en plus les terres agricoles. La préservation de l'environnement désertique fragile et la promotion du développement durable sont des enjeux cruciaux pour l'avenir du Rajasthan.

En conclusion, le désert du Rajasthan est une terre de contraste et de magie, où les paysages désertiques spectaculaires et la culture riche se mêlent pour créer une expérience véritablement inoubliable. Cette région du nord-ouest de l'Inde, avec son héritage royal et ses traditions vivantes, est une destination fascinante pour les voyageurs en quête d'aventure, de beauté naturelle et de découverte culturelle. Le désert du Rajasthan incarne l'âme mystique de l'Inde, offrant un voyage à travers le temps et l'espace pour ceux qui sont prêts à le découvrir.

22 novembre 2023

des parfums uniques pour des individus uniques

La création de son propre parfum est un voyage de recherche sensorielle et d'expression personnelle, offrant un événement aussi distinctif et nuancé que les senteurs que l'on produit. Ce plaisir de la créativité olfactive permet non seulement de se plonger dans l'art de la parfumerie, mais aussi d'enregistrer et de transmettre son individualité, ses émotions et ses souvenirs dans un flacon.

Tout le processus de création d'un parfum individuel commence par la joie de la découverte. Entrer dans le monde des senteurs, c'est comme pénétrer dans un nouvel univers, rempli d'arômes variés, allant du floral et du fruité au boisé et à l'épicé. Chaque parfum porte en lui sa propre histoire et évoque différentes pensées et souvenirs intérieurs. Cette phase d'exploration ne consiste pas seulement à découvrir des fragrances attrayantes ; il s'agit d'un voyage intime à travers nos souvenirs et nos émotions, car chaque avis de parfum peut nous ramener à des moments spécifiques de notre vie, qu'il s'agisse de l'odeur de la pluie par un après-midi d'été ou de l'acceptation chaleureuse d'une personne aimée.

Le cœur de la création de parfums réside dans l'élaboration d'une senteur qui vous est propre. Contrairement aux parfums commerciaux, qui sont créés pour plaire à un large public, un parfum personnalisé est une représentation des goûts et de la personnalité d'une personne. Il s'agit de contrôler différents facteurs pour créer quelque chose qui résonne profondément avec votre propre sentiment d'identité. Cette procédure créative est responsabilisante, car elle implique de faire des choix très personnels et expressifs. Il ne s'agit pas seulement de l'odeur exacte du parfum, mais de ce qu'il signifie pour le créateur.

La création d'une eau de Cologne est un équilibre délicat entre l'art et la science. Il faut comprendre les bases des notes aromatiques - le haut, le centre et le bas - et la manière dont elles communiquent entre elles au fil du temps. Les notes de tête sont les fragrances originales, plus légères, que l'on remarque pour la première fois lors de l'application. Les notes de cœur, ou peut-être les remarques de cœur, constituent la partie principale du parfum, et les notes de fond sont certainement les arômes plus profonds et plus durables qui persistent. L'élaboration d'un mélange bénéfique nécessite de la patience et de l'expérimentation, car chaque élément interagit différemment avec les autres et peut changer avec le temps et sur différents types de peau.

Nombreux sont ceux qui optent pour une expérience en atelier, au cours de laquelle des parfumeurs experts vous guident dans le processus de choix et de mélange des ingrédients. Ces ateliers ne sont pas seulement éducatifs, ce sont des voyages sensoriels. Entourés d'une pléthore de senteurs, de l'ylang-ylang exotique à la vanille rassurante, les participants se lancent dans une quête du mélange parfait. Les conseils d'un parfumeur expérimenté sont inestimables, car ils permettent de comprendre la complexité des arômes et d'équilibrer les différentes remarques pour obtenir un mélange harmonieux.

La beauté de la création de son propre parfum réside dans le lien mental qui s'établit. Un parfum peut devenir une représentation concrète de l'identification d'une personne ou un souvenir précieux. Il peut évoquer des pensées de plaisir, de confort ou de nostalgie. Pour la plupart des gens, porter leur parfum personnalisé revient à s'envelopper d'une mémoire sensorielle ou d'un état d'esprit qu'ils souhaitent transmettre ou rappeler. Il s'agit d'un accent très personnel qui va au-delà du simple style ou de la tendance.

L'exclusivité d'un parfum de marque ne peut être sous-estimée. Dans un monde où les parfums fabriqués en vrac sont la norme, un parfum sur mesure est un symbole d'individualité et de luxe. Il évoque une personne qui accorde de l'importance à l'individualité et à la manifestation de sa personnalité, une personne qui cherche à faire des rencontres sur mesure. Cette exclusivité s'applique non seulement au parfum lui-même, mais aussi à toute l'expérience de sa création, ce qui en fait un luxe indulgent.

Créer son propre parfum peut également être un cadeau attentionné et différent, que ce soit pour un être cher ou pour soi-même. C'est une façon de faire preuve d'attention et de compréhension, créer son parfum car cela implique de prendre en compte les préférences personnelles et l'individualité du destinataire. Le processus d'élaboration d'un parfum pour quelqu'un d'autre peut être tout aussi agréable et satisfaisant, car il implique de mettre de la conviction et de l'amour dans chaque choix de senteur.

Le monde de la parfumerie à faire soi-même offre des possibilités infinies. Avec un large éventail d'huiles essentielles pour la peau et de notes aromatiques facilement disponibles, les combinaisons possibles sont pratiquement illimitées. Cela signifie que l'aventure de la production d'un parfum sur mesure ne s'arrête pas à une seule fragrance. Il peut évoluer au fil du temps, en s'adaptant aux changements de saveur, d'humeur et de saison.

Pour les personnes soucieuses de l'environnement, produire sa propre eau de Cologne permet de s'assurer que les produits utilisés sont durables et d'origine éthique. De nombreuses activités de création de parfums sur mesure privilégient l'utilisation d'ingrédients naturels, offrant ainsi une alternative plus respectueuse de l'environnement que les parfums industriels.

En conclusion, créer son propre parfum est une combinaison fascinante d'art, de recherche scientifique et de concept personnel. C'est un voyage qui fait appel aux sens, évoque des souvenirs et exprime l'individualité. L'expérience ne concerne pas seulement le parfum lui-même, mais aussi l'histoire qu'il raconte et les pensées intérieures qu'il capture. Qu'il s'agisse d'un plaisir personnel, d'un cadeau unique ou d'un effort pour se connecter à sa personnalité profonde, l'art de créer un arôme personnel est une expérience profondément gratifiante et exclusive.

parfum (18)

13 octobre 2023

Les différents scénarios du futur du web

Depuis sa création, le web a connu une évolution remarquable, transformant profondément notre façon de vivre, de travailler et de communiquer. Alors que nous nous aventurons dans l'avenir, de nombreux scénarios émergent quant à l'évolution du web. Cet essai explorera certains des scénarios possibles pour le futur du web, en mettant l'accent sur les domaines clés tels que l'intelligence artificielle, l'Internet des objets, la réalité virtuelle et la sécurité en ligne.

Scénario 1 : L'essor de l'intelligence artificielle :
L'intelligence artificielle (IA) a déjà fait de grandes avancées et devrait jouer un rôle de plus en plus important dans le futur du web. Les systèmes d'IA pourraient être intégrés dans les moteurs de recherche, les plateformes de médias sociaux et les assistants virtuels, offrant des expériences plus personnalisées et efficaces. Les chatbots basés sur l'IA pourraient également être utilisés pour automatiser les interactions en ligne, améliorant ainsi l'efficacité des services client et des processus de vente.

Scénario 2 : L'Internet des objets (IoT) omniprésent :
Avec la prolifération des appareils connectés, l'Internet des objets devrait devenir omniprésent dans notre vie quotidienne. Des maisons intelligentes aux villes intelligentes, les objets connectés faciliteront la gestion des tâches domestiques, l'optimisation des ressources et l'amélioration de la qualité de vie. Le web évoluera pour intégrer les interactions entre ces objets, permettant un échange d'informations et une automatisation plus avancés.

Scénario 3 : L'immersion totale grâce à la réalité virtuelle et augmentée :
La réalité virtuelle (RV) et augmentée (RA) promettent de révolutionner l'expérience en ligne. Les environnements virtuels interactifs permettront aux utilisateurs de se plonger dans des mondes numériques, créant ainsi de nouvelles opportunités dans les domaines de l'éducation, du divertissement et des interactions sociales. Les technologies de RV et de RA permettront aux utilisateurs de collaborer à distance, de visiter des destinations virtuelles et d'interagir avec des objets numériques de manière plus réaliste.

Scénario 4 : La sécurité en ligne renforcée :
Avec l'augmentation des menaces en ligne, la sécurité deviendra une préoccupation majeure pour le futur du web. Les protocoles de sécurité évolueront pour faire face aux nouvelles formes de cyberattaques, tandis que les technologies de chiffrement et d'authentification renforceront la confidentialité des données. De plus, des mesures de protection de la vie privée seront mises en place pour permettre aux utilisateurs de contrôler leurs informations personnelles.

Conclusion :
Le futur du web est prometteur et plein de possibilités passionnantes. Les scénarios explorés dans cet essai, tels que l'intelligence artificielle, l'Internet des objets, la réalité virtuelle et la sécurité en ligne, ne sont que quelques-unes des directions possibles. Il est essentiel de reconnaître que le développement du web dépendra de nombreux facteurs, tels que les progrès technologiques, les politiques réglementaires et les choix collectifs que nous faisons en tant qu'utilisateurs. En naviguant intelligemment et en restant ouverts aux changements, nous pouvons façonner un avenir du web qui améliore notre qualité de vie et favorise une société connectée et inclusive.

12 juillet 2023

Jets de Combat: Regards Croisés entre France et États-Unis

Les chasseurs à réaction sont à la pointe de la technologie aérospatiale moderne. Au fur et à mesure que la technologie de l'aviation progresse, les nations s'affrontent pour développer d'excellents avions militaires. Cet article se concentre sur deux concurrents bien connus sur le marché mondial : les États-Unis et la France. Il vise à mettre en lumière les différences qui distinguent les chasseurs à réaction français de leurs homologues américains.

Les États-Unis, qui disposent d'un vaste budget et d'installations technologiques, sont réputés pour leurs chasseurs à réaction à la pointe de la technologie. Des avions comme le F-35 Lightning II et le F-22 Raptor illustrent les prouesses américaines en matière de technologie furtive, d'avionique innovante et de capacités multirôles. Ces avions, construits par Lockheed Martin, incarnent l'approche du pays en matière de supériorité et de suprématie des flux aériens, en donnant la priorité à la furtivité, à la vélocité et aux armes innovantes.

À l'inverse, les chasseurs à réaction français, généralement développés par Dassault Aviation, se concentrent sur la polyvalence, la manœuvrabilité et la rentabilité. Des appareils tels que le Rafale et le Mirage 2000 ont permis à l'aviation française de se forger une identité unique sur la scène internationale.

La furtivité est une pierre angulaire du style des chasseurs à réaction américains. Le F-35 et le F-22 utilisent la technologie furtive pour réduire le segment transversal du radar, ce qui les rend beaucoup moins détectables par les radars ennemis. Cette concentration sur la furtivité vise à garantir la capacité de survie de l'avion et la réussite de ses missions. En outre, le F-35, avec ses versions adaptées aux différentes branches de l'armée, illustre la procédure américaine en matière d'interopérabilité et d'adaptabilité.

En comparaison, si les avions de combat français comme le Rafale sont dotés d'un certain niveau de tissu absorbant les radars pour réduire la détectabilité, leur conception n'est pas axée principalement sur la furtivité. Au contraire, le Rafale, grâce à ses capacités "Omnirole", met l'accent sur la flexibilité globale. Il peut participer aux objectifs d'efficacité aérienne, d'interdiction, de reconnaissance et de dissuasion nucléaire, tout en bénéficiant d'une capacité de charge utile accrue. Cette adaptabilité est considérée comme un avantage stratégique, car elle permet à une seule plateforme de remplir un large éventail de missions.

La manœuvrabilité est un autre domaine dans lequel les chasseurs à réaction français brillent. Des avions comme le Rafale et la série des Mirage sont réputés pour leurs capacités supérieures en matière de combat aérien, en grande partie grâce à la conception de leurs ailes delta et à leurs solutions avancées de contrôle de la trajectoire. Les chasseurs américains, bien que très maniables, se concentrent davantage sur les engagements au-delà de la portée visuelle (BVR), ce qui souligne leur concentration sur la furtivité et les systèmes d'armement avancés.

En ce qui concerne l'avionique, les deux pays proposent des solutions avancées, mais avec d'autres priorités. Le F-35 américain est doté d'un système de fusion d'indicateurs qui intègre les données provenant d'une série de détecteurs afin de fournir aux pilotes une image cohérente et en temps réel du champ de bataille. Cet accent mis sur l'info-dominance correspond à l'approche américaine de la guerre réseau-centrée.

La France, quant à elle, a été pionnière dans l'intégration de la technologie moderne des radars à détection électronique active (AESA) dans ses avions à réaction, comme le Rafale. Ce système offre des capacités de diagnostic améliorées, ce qui accroît l'efficacité du chasseur dans les missions oxygène-air et atmosphère-terrain.

Ces avions se distinguent également par des considérations économiques. Les chasseurs à réaction américains, avec leurs technologies et capacités sophistiquées, ont généralement un prix unitaire plus élevé. Le F-35, par exemple, bien qu'il soit un impressionnant chasseur furtif multirôle, a été critiqué pour ses coûts exorbitants d'amélioration et d'acquisition.

Les avions français comme le Rafale sont néanmoins conçus dans un souci de rentabilité. La polyvalence du Rafale indique qu'il peut accomplir plusieurs tâches, ce qui réduit la nécessité (et donc le prix) de préserver différents types d'avions. En outre, ses frais d'acquisition et d'exploitation relativement faibles en font un excellent choix pour les pays à la recherche d'avions militaires rentables, Rockwell Mbb-X Efm mais remarquablement performants.

En conclusion, les différences entre les chasseurs à réaction français et américains reflètent des préoccupations et des concepts stratégiques différents. Les États-Unis se concentrent sur la furtivité, l'avionique innovante et la brillance aérienne, souvent à un prix plus élevé. En revanche, la France met l'accent sur la polyvalence, la maniabilité et la rentabilité. Néanmoins, les chasseurs à réaction des deux pays comptent parmi les avions militaires les plus performants au monde. À mesure que l'industrie aérospatiale évolue, il sera sans doute fascinant de voir comment ces philosophies de conception continueront à façonner l'avenir de l'aviation militaire.

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30 mai 2023

Nous pouvons utiliser l'IA dans l'économie

Les médias discutent beaucoup ce matin de la possibilité que l'IA coûte des dizaines, voire des centaines de millions d'emplois dans l'économie mondiale. Le FT a publié des articles sur la question aujourd'hui, dont aucun n'apporte grand-chose au débat, si ce n'est des signaux d'alarme.

La question évidente à poser est la suivante : l'IA va-t-elle créer du chômage et que peut-on faire pour y remédier ? J'ai donc posé la question à ChatGPT, un outil d'IA, et voici sa meilleure réponse :

L'IA a le potentiel de créer du chômage dans certaines industries et dans certaines fonctions, en particulier celles qui impliquent des tâches répétitives ou qui peuvent être facilement automatisées. Cependant, il est important de noter que l'IA peut également créer de nouvelles opportunités d'emploi et aider les individus à être plus productifs et efficaces dans leur travail.

Pour atténuer les effets négatifs potentiels de l'IA sur l'emploi, plusieurs mesures peuvent être prises :

Investir dans des programmes d'éducation et de recyclage : Les gouvernements, les établissements d'enseignement et les entreprises peuvent investir dans des programmes d'éducation et de recyclage afin d'aider les travailleurs à acquérir les compétences nécessaires pour les nouveaux emplois qui émergent grâce à l'IA.
Encourager l'esprit d'entreprise : Encourager et soutenir l'esprit d'entreprise peut créer de nouvelles opportunités d'emploi et aider les individus à créer leur propre entreprise.
Mettre en œuvre des politiques de soutien aux travailleurs : Les gouvernements peuvent mettre en œuvre des politiques telles que l'assurance chômage, les soins de santé et les prestations de retraite pour soutenir les travailleurs susceptibles d'être déplacés par l'IA.
Favoriser une culture de l'apprentissage tout au long de la vie : Encourager et soutenir l'apprentissage tout au long de la vie peut aider les travailleurs à s'adapter aux nouvelles technologies et aux nouveaux rôles professionnels à mesure qu'ils apparaissent.

Dans l'ensemble, il est important d'adopter une approche proactive pour faire face à l'impact potentiel de l'IA sur l'emploi, et de se concentrer sur la création de nouvelles opportunités d'emploi et sur le soutien aux travailleurs par le biais de programmes d'éducation et de reconversion.

En l'état actuel des choses, ce n'est pas si mal. Une bonne réponse de niveau A, peut-être.

Mais le fait est qu'elle ne va pas assez loin, car cette réponse n'aborde pas les questions fondamentales qui découlent de la suggestion qu'elle fait. Cette suggestion est que les personnes engagées dans des processus où l'emploi est remplacé par la technologie de l'IA devraient être recyclées pour travailler dans des secteurs où il pourrait y avoir de la croissance. Dans une autre version de la réponse (que j'ai demandée à plusieurs reprises), il a été suggéré que de nouveaux emplois pourraient être créés dans les énergies renouvelables et, plus particulièrement, dans les secteurs des soins de santé et de l'éducation qui, selon la réponse, "devraient connaître une croissance significative dans les années à venir".

C'est peut-être vrai, mais la pièce manquante dans tout cela est la manière dont cette transformation sera financée, parallèlement à tous les autres changements qui se produiront nécessairement dans les années à venir.

Nous pouvons, bien sûr, mettre en place d'importants programmes de recyclage. Et nous pouvons employer plus de personnes dans les énergies renouvelables, les soins de santé et l'éducation, mais tout cela nécessitera probablement un soutien important de la part du gouvernement et, à l'heure actuelle, nous avons l'attitude dominante selon laquelle, premièrement, il n'y a plus d'argent et, deuxièmement, il ne doit plus y avoir d'impôts.

Aucune de ces attitudes n'est viable face à l'IA. L'IA augmente le rendement du capital dans l'économie en réduisant le rendement du travail. C'est là tout l'intérêt de l'IA. Je pense qu'il est inutile de prétendre le contraire : c'est ce qui se produira en l'absence d'intervention des gouvernements.

Historiquement, lorsque de telles transitions ont eu lieu, trois choses se sont produites. Premièrement, il y a eu des ralentissements économiques majeurs (cela s'est produit au cours des trois dernières décennies du 19e siècle, presque continuellement). Deuxièmement, la pauvreté. Je note que c'est à la même époque que les syndicats ont été créés et qu'ils ont joué un rôle essentiel dans la lutte contre ce fléau. Et troisièmement, de nouveaux secteurs ont fini par se développer pour employer la main-d'œuvre déplacée.

Les deux premiers sont des possibilités réelles avec l'utilisation généralisée de l'IA. Après tout, les chômeurs ne peuvent pas dépenser beaucoup : le risque d'un véritable déclin économique alors même que le rendement du capital augmente est grand.

Mais ce qui me préoccupe le plus, c'est que je ne vois pratiquement aucune chance de voir naître une nouvelle activité du secteur privé qui chercherait à employer les personnes rendues inutiles par l'IA. Il est vrai que nous avons besoin de plus d'éducation, de soins de santé et d'aide sociale, ainsi que de meilleures pensions. Cela est vrai indépendamment de l'IA. L'IA rend tout cela possible en mettant à disposition les ressources nécessaires, mais seulement si le gouvernement peut employer les personnes concernées.

Bien sûr, un gouvernement comme celui du Royaume-Uni peut créer les fonds nécessaires à cette fin. Nous savons que c'est possible. Mais pour contrôler l'inflation, il devra également augmenter les impôts, et il n'y a qu'un seul secteur évident sur lequel cet impôt supplémentaire devrait être imputé - c'est celui des propriétaires des avantages découlant de l'IA. Cela signifie inévitablement que les impôts sur le capital devront augmenter de manière très significative.

La question est de savoir si cela sera possible. Si c'est le cas, la transition vers l'IA pourrait être bénéfique. Si ce n'est pas le cas - parce que les paradis fiscaux résistent à ce changement d'une manière telle qu'il est impossible d'aborder et de corriger correctement ce changement de récompense en faveur du capital par le biais du système fiscal - alors nous pourrions nous retrouver dans une situation très difficile.

Je pense que c'est la première fois que j'aborde cette question. Je considère qu'il s'agit d'une nouvelle frontière en matière de justice fiscale. Soit nous trouvons le moyen de taxer efficacement le capital (et non pas en taxant les machines comme l'a suggéré un jour Bill Gates, mais en taxant la propriété du capital elle-même et les récompenses qui en découlent), soit l'IA crée un risque économique massif.

Je pense qu'il s'agira d'un thème récurrent ici à l'avenir.



6 mars 2023

Attirer les investissements des entreprises dans votre ville

Encourager les entreprises à se rendre dans des villes et des pays étrangers peut apporter plusieurs aspects positifs. J'ai participé à une convention pour étudier ces avantages et voir comment les améliorer. Ces avantages sont très connus et comprennent

L'acquisition d'entreprises directes : Lorsque des entreprises visitent des villes et des pays étrangers, elles peuvent penser à investir dans l'économie du quartier. Cela peut apporter de nouveaux capitaux, produire des emplois et stimuler la croissance financière de la région. Par exemple, une entreprise peut choisir de mettre en place une nouvelle usine de fabrication ou d'établir un lieu de travail local, offrant ainsi de nouvelles opportunités aux citoyens locaux.

Obtenir des technologies et des innovations supplémentaires : Les entreprises qui se rendent dans des villes et des pays étrangers pourraient également apporter de nouvelles technologies et des pratiques d'entreprise innovantes. Cela contribuera à améliorer les industries locales et à créer de nouvelles opportunités pour les propriétaires d'entreprises et les jeunes entreprises. Par exemple, une entreprise peut éventuellement introduire de nouvelles procédures de fabrication ou des technologies numériques, qui peuvent être adoptées par les entreprises locales pour améliorer leur compétitivité.

Embellissement et pouvoir des communautés locales : Les entreprises qui visitent des villes et des pays internationaux contribueront également à inspirer et à embeter les zones locales. Elles peuvent vous proposer des applications de formation et de développement, Voyage entreprise Florence créer des partenariats locaux ou investir dans des initiatives interpersonnelles et écologiques qui peuvent bénéficier aux populations voisines. Cela contribuera à créer un environnement d'entreprise beaucoup plus durable et inclusif, ce qui peut entraîner des avantages à long terme pour le voisinage dans son ensemble.

Dans l'ensemble, encourager les entreprises à se rendre dans des villes et des pays d'outre-mer apportera toute une série d'avantages, notamment des investissements, des technologies et des innovations plus importants, ainsi que des effets sociaux et environnementaux accrus. Ces avantages peuvent créer de nouvelles opportunités pour les citoyens locaux et contribuer à stimuler la croissance monétaire dans la région.

Les pays, les régions et les villes peuvent utiliser de nombreuses stratégies pour inciter les entreprises à les voir. Les méthodes les plus courantes sont probablement les suivantes :

Le marketing et la publicité et le marketing : Le marketing et la promotion constituent l'un des moyens les plus efficaces d'inciter les entreprises à les visiter. Les lieux, les régions et les villes peuvent se promouvoir par différents moyens, tels que les médias sociaux, le marketing et la publicité. Cela peut contribuer à faire connaître leurs choix uniques et à attirer l'attention d'invités potentiels.

Créer un environnement chaleureux et convivial pour les entreprises : Les nations, les régions et les villes peuvent créer un environnement favorable aux entreprises en réduisant la bureaucratie, en améliorant la structure et en simplifiant le cadre juridique et réglementaire. En créant un environnement favorable aux affaires, les organisations sont plus susceptibles de choisir ces lieux comme destinations potentielles pour des visites.

Offrir des incitations : Les organes directeurs et les autorités locales peuvent offrir des primes pour inciter les organisations à visiter leur site. Il peut s'agir d'incitations fiscales, d'aides ou de subventions pour les entreprises qui investissent dans la région ou y font des affaires.

Développement de groupements industriels : Les pays, les régions et les villes peuvent créer des grappes industrielles ou se concentrer sur des industries spécifiques afin d'attirer les entreprises de ces industries. Il peut s'agir de produire une structure spécialisée ou d'investir dans la recherche et le développement pour promouvoir l'innovation et attirer les entreprises dans un domaine spécifique.

Offrir des possibilités de réseautage : Offrir aux entreprises des possibilités de réseautage les aidera à entrer en contact avec des partenaires, des fournisseurs ou des clients potentiels. Il peut s'agir d'organiser des salons professionnels, des conférences d'affaires ou tout autre événement réunissant des entreprises et des experts du secteur.

Dans l'ensemble, les pays, les régions et les villes disposent de plusieurs moyens pour encourager les organisations à leur rendre visite. En commercialisant leurs produits uniques, en créant un environnement commercial favorable, en proposant des incitations, en développant des pôles de marché et en offrant des possibilités de mise en réseau, ils peuvent attirer des entreprises du monde entier et favoriser le développement et la croissance économiques de leur région.

6 février 2023

Et maintenant

À l'apogée de la montée du Sud de l'autocratie et de la dictature à la démocratisation et à la prospérité, l'optimisme a grandi que des pays comme le Brésil, l'Inde, l'Afrique du Sud, la Turquie et l'Indonésie deviendraient des défenseurs actifs de l'ordre libéral international. Les experts et diplomates du Nord et du Sud (cet auteur inclus) avaient de bonnes raisons d'être optimistes: ces États, et d'autres comme eux (Mexique, Corée du Sud, Pologne, Chili), étaient sortis de systèmes répressifs fermés et de transitions rocailleuses dans une mesure décente de la paix démocratique, de la croissance économique et du développement humain, des progrès qui ont marqué une nette rupture avec le passé. Ils ont fièrement apporté leurs nouvelles références en tant que démocraties de moyenne puissance sur la scène mondiale et ont tiré parti de ce statut pour d'autres campagnes comme un siège au Conseil de sécurité des Nations Unies ou l'organisation des Jeux olympiques; ils ont également mis à profit leurs progrès durement acquis pour renforcer leur rôle de leaders régionaux et attirer des investissements étrangers. Leur développement en tant que sociétés diverses de toutes les régions du monde, organisées autour des principes fondamentaux de la démocratie et des droits de l'homme, a servi de symboles puissants de l'attrait universel de l'ordre libéral international. Il a également donné lieu à des projections selon lesquelles ces États pourraient renforcer cet ordre en renforçant leur leadership aux Nations Unies et dans d'autres organismes internationaux en tant que défenseurs d'une approche plus équilibrée de la protection des droits de l'homme.1
Plus récemment, cependant, le vernis du progrès démocratique s'est affaibli et les fondements sur lesquels reposaient ces espoirs se sont effondrés. Pourquoi ces démocraties montantes se sont-elles éloignées de leurs tendances antérieures plus positives? Peuvent-ils retrouver une dynamique de changement progressif suffisante pour les pousser à devenir des contributeurs nets et des réformateurs d'un ordre international qui s'attaque sérieusement aux crises humanitaires et aux droits de l'homme les plus pressantes auxquelles la planète est confrontée? Dans l'affirmative, la volonté politique et la capacité, au sein du gouvernement et de la société civile, sont-elles suffisamment fortes pour actualiser leurs politiques étrangères afin de relever les défis concurrents d'un Occident en déclin, d'une Chine et d'une Russie en résurgence et d'une récession démocratique mondiale? Avec la propagation alarmante de l'illibéralisme et du nationalisme en Europe et aux États-Unis, parallèlement à la montée de Poutine, ces États peuvent-ils aider à combler le vide pour soutenir les gains durement disputés de l'après-guerre froide? Enfin, existe-t-il un ensemble de questions prioritaires dans lesquelles les démocraties du Sud et du Nord peuvent travailler ensemble pour réaliser des progrès significatifs vers le respect des droits de l'homme?
Le pouvoir des exemples, bons et mauvais
Lorsque l'Inde, la plus grande démocratie du monde avec 1,2 milliard de citoyens, 122 langues et des centaines de castes et tribus reconnues, a organisé un autre tour d'élections libres et équitables en 2014, les électeurs ont choisi de manière décisive la coalition d'opposition dirigée par Narendra Modi du parti Bharatiya Janata (BJP). ). En tant que Premier ministre, Modi n'a pas tardé à répondre aux demandes pressantes de croissance économique et d'emploi pour ses 800 millions de citoyens de moins de trente-cinq ans, proclamant l'Inde comme une réussite inévitable qui mérite d'être mise. En politique étrangère, Modi s'est lancé dans un rythme effréné de globe-trotter, en particulier dans le voisinage immédiat de l'Inde, en tant que messager des valeurs multiculturelles, des principes démocratiques et du dynamisme économique qui positionneraient l'Inde comme une puissance dominante, plutôt que comme une puissance d'équilibrage… prêt à assumer de plus grandes responsabilités mondiales », selon son secrétaire aux Affaires étrangères, Subrahmanyam Jaishankar (Jaishankar 2015).
Les dirigeants indiens de divers horizons reconnaissent que leur quête d'un plus grand leadership sur la scène mondiale dépend de la résolution de leurs problèmes profonds et complexes à la maison, de la pauvreté généralisée et de la corruption endémique à la discrimination et à la violence contre les femmes et les intouchables. » Sous l'orientation pro-hindoue de Modi, cependant, la violence d'inspiration religieuse contre les musulmans et d'autres groupes s'est aggravée tandis que la ferveur nationaliste a déclenché des répressions contre les acteurs laïques et internationalistes. Une lettre conjointe adressée à Modi par 144 ONG en mai 2015 a accusé le gouvernement, entre autres, de geler des fonds, d'utiliser des rapports de renseignement pour dénigrer des ONG et d'attiser une atmosphère de coercition et d'intimidation de la part de l'État dans l'espace de la société civile indienne »(lettre du 8 mai 2015). . En août 2016, une plainte pour sédition a été déposée contre Amnesty International Inde par un groupe d'étudiants de droite offensé par des signes soi-disant anti-indiens lors d'un événement protestant contre les violations des droits humains commises par les forces de sécurité indiennes au Cachemire contrôlé par l'Inde. l'inquiétude suscitée par l'impunité de la loi indienne permet à ses forces de sécurité engagées au Cachemire et de réprimer d'autres insurrections dans le nord-est de l'Inde de réduire encore la crédibilité de l'Inde en tant que porte-parole des droits fondamentaux.
Ces problèmes ne sont toutefois pas des obstacles insurmontables aux aspirations croissantes de l'Inde à un leadership mondial. Avec des institutions solides, des élections multipartites compétitives, des médias indépendants et des militants exerçant des pressions sur les responsables gouvernementaux pour améliorer leurs droits dans le pays, l'Inde dispose du matériel et des logiciels nécessaires pour combler progressivement l'écart entre ses politiques intérieure et étrangère d'une manière qui lui permettrait de coup de poing à plutôt que sous son poids. La décision du gouvernement Modi d'accélérer l'insertion de l'Inde dans l'économie mondiale et d'affirmer son leadership dans son voisinage à l'étranger indique également une direction plus responsable des biens communs. La question reste cependant de savoir si l'Inde émergera en tant qu'acteur mondial responsable désireux de défendre les valeurs universelles de pluralisme, de tolérance et de primauté du droit - valeurs que reflète sa propre unité dans la diversité », le credo - ou adoptera une ligne plus réaliste sans le respect sérieux des valeurs intrinsèques ou instrumentales des droits de l'homme et de la démocratie dans sa politique étrangère.
À l'autre extrémité du spectre se trouve la Turquie, autrefois présentée comme un modèle inspirant de la compatibilité de l'islam politique et de la démocratie. Pendant près d'une décennie, la Turquie a fait des progrès constants dans le cadre du Parti pour la justice et le développement (Adalet ve Kalkinma Partisi ou AKP) dirigé par le Premier ministre d'alors (aujourd'hui président) Tayyip Erdogan. Erdogan a pris le pouvoir sur une campagne pour mettre fin à la corruption et à la pauvreté et a donné des résultats positifs après que son parti a remporté la majorité absolue à l'Assemblée nationale en 2002. En vue de l'adhésion future à l'Union européenne, le gouvernement AKP a adopté des lois assouplissant les restrictions à la liberté d'expression et considérablement réduit le rôle des militaires dans la politique. Un programme de stabilisation économique rigoureux, aidé par un fort soutien politique d'une majorité parlementaire plus stable et l'aide du Fonds monétaire international, a réduit la dette publique et l'inflation et augmenté l'excédent budgétaire. Au cours de la prochaine décennie, l'économie turque a connu une croissance sans précédent de 253%, entraînant des millions de Turcs dans la classe moyenne avec un meilleur accès aux soins de santé et une meilleure éducation. La Turquie a également commencé à se positionner comme un chef de file dans son voisinage, prêt à dépenser du capital politique pour défendre la démocratie et les droits de l'homme. Cette approche plus militante a atteint son apogée pendant la tourmente du printemps arabe lorsque le ministre des Affaires étrangères de l'époque, Davutoglu, a déclaré que la stabilité à long terme dans la région ne sera accordée que s'il existe une nouvelle relation consensuelle entre les dirigeants, l'État et les citoyens », et a dénoncé la une réflexion à court terme qui favorise la stabilité autoritaire par rapport au changement démocratique (Davotoglu 2013, p. 14-16).
Au fil du temps, cependant, les tendances autocratiques d'Erdogan l'ont emporté, comme en témoignent les efforts continus et couronnés de succès pour centraliser l'autorité, affaiblir les freins et contrepoids, politiser le système judiciaire et prendre des mesures sévères contre les opposants dans les médias, la société civile et l'armée. Plus récemment, Erdogan a effectivement utilisé la tentative de coup d'État militaire de juillet 2016 (apparemment inspirée, au moins en partie, par le mouvement guléniste (Filkins 2016)) pour rassembler ses partisans et ses opposants autour des principes de la démocratie dirigée par les civils. Il a également saisi l'opportunité de sévir encore plus contre les collaborateurs présumés »à l'intérieur et à l'extérieur de l'armée et la répression étatique renouvelée de l'opposition politique kurde qu'il avait précédemment acceptée comme partenaires de négociation légitimes. En conséquence, le potentiel de la Turquie, une fois loué, s'il était gonflé, comme exemple démocratique pour d'autres sociétés musulmanes, a été gravement, sinon irrémédiablement terni. Ces développements ont considérablement fait dérailler ses ambitions d'être une force de changement positif dans son proche étranger. À travers une série de faux pas et d'événements évitables hors de son contrôle, Ankara s'est dégagée de toute position d'influence réelle en ce qui concerne sa mission de construire un quartier plus stable et démocratique. Confrontée à une recrudescence des attaques terroristes sur son propre sol, une guerre dévastatrice le long de sa frontière avec la Syrie, une opposition kurde déterminée gagne du terrain politiquement chez elle et territorialement en Syrie et en Irak, et déchirée par ses propres divisions civilo-militaires-religieuses, la Turquie ne peut plus prétendre jouer un rôle de leader en matière de soutien à l'ordre libéral international.
Entre ces deux cas emblématiques de développement des aspirations des démocraties à un leadership international, plusieurs autres découragent, sinon épuisent, des exemples de ce genre d'acteurs de moyenne puissance. Le Brésil se distingue par sa situation tristement diminuée. Au cours des quatre dernières années seulement, le Brésil est passé de l'une des économies à la croissance la plus rapide au monde avec une baisse impressionnante des taux de pauvreté et une classe moyenne en croissance à un pays embourbé dans une récession et un chômage en hausse, une inflation et des taux d'intérêt en hausse et une flopée de scandaleux procès pour corruption contre son élite économique et politique. La destitution douteuse de sa présidente de gauche élue, Dilma Rousseff, en août 2016, et l'élévation de son numéro deux amical et impopulaire au palais présidentiel, ont été le couronnement de cette tragédie du feuilleton. Cela dit, le Brésil pourrait encore reprendre pied si l'on considère le rôle solide joué par son système judiciaire de plus en plus professionnel et le traitement de la destitution de Rousseff par le biais de procédures constitutionnelles plutôt qu'extralégales. Quoi qu'il en soit, il faudra un certain temps avant que le Brésil puisse sortir de son marasme national et restaurer son éclat en tant qu'acteur majeur sur la scène internationale désireux de continuer à exprimer une préférence claire pour certains, sinon tous les principes de l'ordre libéral international.
L'Afrique du Sud, la plus grande économie de l'Afrique subsaharienne, est confrontée à des défis similaires mais moins graves sur le front intérieur, ce qui entraîne une baisse de sa réputation à la fois au niveau régional et au-delà. La transition très louée de l'apartheid à la démocratie multiraciale dans les années 1990 sous la direction de Nelson Mandela a nourri l'espoir que l'Afrique du Sud pourrait devenir non seulement un phare de changement pacifique sur le continent africain, mais un leader activiste encourageant d'autres dirigeants africains à se réformer. Plus récemment, cependant, la domination du Congrès national africain a ralenti un véritable changement politique dans le pays et les accusations de corruption contre le président Jacob Zuma et les membres de son cabinet ont accéléré le glissement vers le despotisme démocratique. Les électeurs frustrés par la baisse des fortunes économiques du pays, le capitalisme de copinage, la montée de la criminalité et la baisse des services publics ont commencé à se tourner vers d'autres vecteurs de changement, ce qui pourrait aider à revitaliser la concurrence politique de l'Afrique du Sud et conduire à de meilleurs résultats de gouvernance. En termes de politique étrangère, l'Afrique du Sud s'est nettement éloignée de l'approche de Mandela axée sur les droits de l'homme pour minimiser toute préoccupation réelle à cet égard, préférant plutôt améliorer les relations avec la Chine et la Russie en tant que membre des BRICS et jouer le rôle de médiateur dans le règlement des conflits africains. Il est également rapide de contourner ou de s'opposer aux initiatives des Nations Unies qui élargiraient l'action internationale en matière de droits de l'homme, que ce soit sur des questions thématiques telles que la protection de la société civile ou les droits des LGBT ou sur des questions spécifiques à un pays comme le Myanmar et le Zimbabwe.
Un cas un peu plus encourageant peut être trouvé en Indonésie qui, comme l'Inde, offre un exemple convaincant d'une société large, diversifiée et modernisante, déterminée à se gouverner selon des principes de démocratie représentative, de pluralisme et de modération. En tant que plus grande démocratie à majorité musulmane du monde, son attrait est particulièrement attrayant à une époque de profondes turbulences au sein de la communauté islamique mondiale. Avec des taux de croissance économique stables entre 4 et 5% par an depuis 1998, une classe moyenne en expansion et un environnement de médias sociaux dynamique, l'Indonésie s'est révélée être un exemple positif de libéralisation économique et politique dans une Asie du Sud-Est par ailleurs stagnante. Cependant, son influence dans la construction d'un ordre libéral international plus fort est limitée par une multitude de facteurs internes et externes qui pourraient à terme positionner l'Indonésie comme un acteur constructif mais décevant. Il s'agit notamment de la corruption généralisée, de l'inégalité croissante, du recours douteux à la torture et à la peine de mort et d'une réticence bien établie à prendre position au niveau international lorsque la démocratie et les droits de l'homme sont menacés, même dans des cas graves comme la Corée du Nord et l'Iran. Son propre extrémisme violent lié à l'islam radical, bien que principalement contenu, a freiné tout effort manifeste de s'impliquer dans la tourmente du printemps arabe, se tenant proche de sa doctrine traditionnelle de non-ingérence. Le président Jokowi, qui s'est levé de l'extérieur de l'élite traditionnelle pour remporter les élections en 2014, a jusqu'à présent montré peu de volonté de s'appuyer sur les acquis politiques plus internationalistes de son prédécesseur, choisissant plutôt de se concentrer sur la sécurité maritime et les questions centrées sur les personnes »comme les travailleurs migrants.
Que veulent les démocraties de moyenne puissance?
Où en est ce tableau mitigé lorsqu'il s'agit d'évaluer le sort de l'ordre libéral international? Cette question n'est pas académique: avec l'Europe en crise économique et politique, les États-Unis en ébullition sur leur système politique dysfonctionnel, et la Chine et la Russie exploitant les opportunités pour défendre et faire avancer leurs propres positions anti-démocratiques, le rôle des démocraties de moyenne puissance a une incidence directe sur la poursuite des progrès de la démocratie et des droits de l'homme au cours des dernières décennies. Dans le climat actuel de montée de la violence terroriste; métastaser les guerres civiles en Afghanistan, en Irak, en Ukraine et en Syrie; l'instabilité croissante dans la région Asie-Pacifique sur les revendications de la Chine dans la mer de Chine méridionale et les actions provocatrices nucléaires de la Corée du Nord, la nécessité d'une coopération internationale entre un groupe central d'États démocratiques capables investis dans le renforcement d'un système de droit, de paix et de diplomatie est plus grande maintenant que depuis des décennies. Ces pouvoirs démocratiques émergents, ainsi que d'autres, vont-ils intensifier leurs efforts pour relever ces défis, qui sont à la base des problèmes de gouvernance démocratique et des droits de l'homme? Ou vont-ils se replier sur eux-mêmes alors qu'ils s'attaquent à leurs propres demandes impérieuses de changement chez eux?
À part peut-être l'Inde, qui a clairement exprimé son désir d'étendre son rôle dans sa région et au-delà, la plupart des démocraties de moyenne puissance seront préoccupées pendant quelques années par leurs propres problèmes intérieurs. C'est en partie une conséquence naturelle de leur double statut de pays en développement et de démocraties. Les dirigeants démocrates, s'ils veulent être réélus, n'ont pas le luxe d'ignorer leurs électeurs chez eux pour se lancer dans des aventures risquées et potentiellement coûteuses à l'étranger. Et leur capacité à jouer un rôle de premier plan à l'échelle internationale dépend de la santé de leurs économies et de leurs sociétés en général.
Cet argument, cependant, ne va que jusqu'à présent. Après tout, c'est la vague de mondialisation que ces pays ont conduite pour faire des progrès aussi spectaculaires dans leur propre développement. Et ils restent fortement tributaires du réseau des accords commerciaux internationaux, des flux énergétiques sans entrave, des investissements directs étrangers, des migrations et des envois de fonds, et d'autres caractéristiques de l'ordre mondial pour leur succès continu. Il est donc dans leur intérêt de protéger leurs investissements dans un ordre mondial plus ouvert et soumis à des règles. Il ne devrait donc pas être surprenant que des accusations de chargement gratuit soient lancées, même par l'occupant sortant habituellement gracieux de la Maison Blanche (Goldberg 2016). Cette allégation est fondée. Outre une solide contribution aux contributions des troupes aux opérations de maintien de la paix de l'ONU de la part de l'Inde, de l'Indonésie, de l'Afrique du Sud et du Brésil, ces États sont sous-performants en tant que contributeurs à d'autres aspects de l'ordre international, par exemple dans le domaine de l'aide humanitaire internationale et de l'aide au développement. . Ils ont également sérieusement sous-investi dans leur propre infrastructure diplomatique et éducative nécessaire pour construire et maintenir une présence crédible sur la scène mondiale.
S'agissant du thème spécifique du soutien à la démocratie et aux droits de l'homme, ces pays ont trop souvent choisi la voie de la moindre résistance lorsqu'il s'agit de faire des choix pour ou contre les valeurs et principes mêmes qu'ils se sont si ardemment adoptés. Il s'agit avant tout d'un problème idéologique et historique. Leurs propres expériences nationales avec l'apartheid, la dictature et le colonialisme, propagées et soutenues par l'Occident, les poussent à s'opposer aux plans d'intervention dans les affaires intérieures des autres. Ils s'opposent également aux audits externes de leurs propres lacunes. Cependant, dans l'histoire, il y a un autre côté de l'histoire: quand cela servait leurs intérêts, beaucoup de ces pays ont joué un rôle essentiel dans les premières années de l'après-Seconde Guerre mondiale en soutenant les éléments constitutifs de l'international moderne. système des droits de l'homme, y compris le principe clé du suivi par l'ONU des situations nationales des droits de l'homme (Jensen 2016). De même, des pays comme le Brésil et l'Afrique du Sud ont joué un rôle de premier plan dans la construction de mécanismes régionaux pour défendre et protéger les gouvernements démocratiquement élus contre les prises de pouvoir militaires ou autres inconstitutionnelles. L'expérience historique dominante s'est néanmoins cristallisée au fil du temps en une idéologie de non-alignement et de non-interventionnisme, en particulier pour l'Inde et l'Indonésie. Alors que l'emprise de ces doctrines se desserre face à la mondialisation et une prise de conscience du rôle sain que peut jouer l'activisme international au pays et à l'étranger, il faudra plus de temps pour rééquilibrer vers une interprétation moins rigide de la souveraineté.
À mesure que ce changement se produit, un certain nombre de mesures délibérées devraient être prises pour consolider la transition vers une approche plus équilibrée de l'ordre libéral international. Premièrement, les penseurs et praticiens de la politique étrangère de ces pays devraient élargir leurs propres définitions de la sécurité nationale afin de mettre davantage en valeur le type de stabilité, de prospérité et de paix qui découlent de la gouvernance démocratique, de l'État de droit et du respect des droits de l'homme. Ils n'ont pas besoin de chercher plus loin que leurs propres transitions vers le régime démocratique, le constitutionnalisme et le pluralisme politique pour connaître les avantages d'une telle approche. Ils peuvent également tirer des enseignements des progrès importants réalisés par d'autres démocraties qui étaient autrefois déchirées par le conflit et le despotisme pour devenir des États plus stables, de l'Allemagne et du Japon à la Pologne, la Corée du Sud et le Chili. Les preuves empiriques montrent que ces États sont non seulement devenus plus sûrs et plus prospères, mais aussi des contributeurs positifs à l'ordre libéral international. Nous savons également par expérience que les démocraties ont tendance à éviter les conflits internes et externes, à ne pas subir de terrorisme meurtrier, à ne pas engendrer de crises de réfugiés ou de famines, et à avoir de meilleurs antécédents en matière de développement humain et de sécurité des citoyens.
Deuxièmement, cette approche davantage fondée sur des données probantes de la prise de décisions en matière de sécurité nationale devrait être enseignée dans les universités, les académies diplomatiques et les institutions militaires comme condition d'obtention du diplôme. Les politiciens, les législateurs et leur personnel doivent également être formés aux avantages d'une approche à plus long terme de la politique de sécurité nationale. Troisièmement, ces pays devraient s'engager davantage dans la diplomatie multilatérale douce et l'assistance qui créent un environnement propice au développement d'autres démocraties. Cela comprend le vote pour les résolutions de l'ONU qui répondent aux violations flagrantes des droits de l'homme dans le nombre décourageant d'États encore embourbés dans les conflits (Burundi, République centrafricaine, Érythrée, Somalie, Yémen, Venezuela, etc.), en contribuant aux institutions internationales qui construisent la démocratie et les droits de l'homme (Fonds des Nations Unies pour la démocratie, organes régionaux des droits de l'homme, Communauté des démocraties), et en intégrant une plus grande préoccupation pour la démocratie et les droits de l'homme dans leur propre diplomatie bilatérale.
Trouver un terrain d'entente
Lorsque nous, en Occident, considérons l'évolution des démocraties de moyenne puissance comme un instantané dans le temps, nous perdons de vue les progrès importants, mais inégaux, qu'ils ont réalisés depuis leur tournant décisif vers la gouvernance démocratique. Nous passons également à côté de leur propre histoire en tant que victimes de mauvais comportements d'autres puissances et en tant que premiers dirigeants à contribuer à l'établissement de la démocratie internationale et de l'ordre des droits de l'homme après la Seconde Guerre mondiale. Nous entrons maintenant dans une nouvelle ère d'après-guerre froide, d'une certaine manière plus dangereuse, dans laquelle cet ordre est soumis à une tension intense et a grand besoin de soutien politique et matériel et d'innovation. Cela ne peut se produire sans la participation active des démocraties des pays du Sud, qui ont le potentiel d'apporter leur expérience plus récente de transition démocratique et de consolidation à d'autres pays intéressés par la réforme. La question est: sont-ils disposés et capables de relever ce défi?
La réforme, cependant, est une voie à double sens. Les démocraties plus établies ont leur propre nettoyage à faire, tant au pays qu'à l'étranger. L'élection de Donald Trump à la Maison Blanche dans une campagne combative qui a directement attaqué les principes fondamentaux de tolérance et de civilité et a même ravivé l'idée de la torture comme outil légitime contre les terroristes pose un défi particulièrement épineux pour cette coalition traditionnelle. Des stratégies militaires et de construction nationale non viables, des interventions agressives dans les affaires intérieures et le manque de responsabilité pour les violations flagrantes des droits de l'homme exigent une refonte majeure de la manière de mener une politique étrangère efficace et fondée sur des principes. Cette refonte exige également un effort concerté pour élargir le réseau d'acteurs, y compris du Sud, désireux de soutenir des réformes qui favorisent une plus grande transparence, responsabilité et participation. Des coalitions de démocraties viables nécessitent une volonté de trouver un terrain d'entente sur des approches orientées vers l'action mais réalistes, en déployant une gamme d'outils de soft power et en faisant preuve de patience stratégique pour les efforts à long terme nécessaires à l'instauration d'une véritable démocratie.
Une façon de construire un tel terrain d'entente consiste à identifier une poignée de domaines thématiques prioritaires dans l'agenda de plus en plus encombré des droits de l'homme et de la démocratie pour une action concrète des principales parties prenantes des démocraties du Nord et du Sud. La liste d'idées suivante a l'avantage d'en inclure certaines qui sont considérées comme des éléments vitaux »ou des problèmes de tronc d'arbre dont dépendent tant d'autres causes louables. Il comprend également des éléments qui constituent un équilibre entre les priorités traditionnelles des démocraties plus établies, par exemple la liberté d'information et d'Internet, et les priorités des démocraties en développement, par exemple les droits économiques et sociaux, la réglementation de l'impact des entreprises sur les droits de l'homme et la lutte contre la corruption. Enfin, il s'appuie sur le consensus mondial établi sur les objectifs de développement durable pour faire avancer le travail inachevé d'intégration des programmes de développement, de gouvernance et de dignité humaine.
Problèmes vitaux
La communauté internationale des droits de l'homme a réussi à élargir la portée des droits de l'homme au fil du temps et à construire une architecture pour les défendre. Pourtant, il peut atteindre un point de basculement dans lequel l'ambition de transformer chaque problème en une cause des droits de l'homme dilue les principes et concepts fondamentaux qui donnent effet à tous les autres droits. Des ressources limitées sont également un défi constant. À mon avis, l'objectif ne devrait pas être de réduire l'ordre du jour mais plutôt de faire en sorte que les défenseurs disposent des outils les plus solides possibles pour faire avancer leurs causes spécifiques. Cela signifie se concentrer sur les problèmes vitaux qui rendent tous les autres progrès possibles.
Trois domaines en particulier nécessitent une attention prioritaire. Premièrement, défendre l'espace pour le travail de la société civile sur les droits de l'homme et la démocratie. Les preuves de la répression, du harcèlement et des pressions contre les militants de la société civile se multiplient chaque jour, une tendance qui prévaut dans les États autoritaires et démocratiques. Sans un espace suffisant pour la liberté d'association et d'expression et la protection des financements transfrontaliers pour ce travail, les ONG de tous bords auront plus de mal à surveiller les élections, à fournir des services sociaux ou à défendre les populations vulnérables. Un bon travail est déjà en cours au niveau des Nations Unies grâce au travail des rapporteurs spéciaux des Nations Unies sur la liberté d'association et les défenseurs des droits de l'homme, mais le travail le plus important se situe aux niveaux national et local. Une reconnaissance significative de la voix, de la participation et de l'expertise de la société civile devrait être une condition sine qua non de tout processus de consultation national et multilatéral, que ce soit sur des questions de politique intérieure ou étrangère. Une éducation continue des normes et mécanismes internationaux des droits de l'homme au niveau local est essentielle. Au niveau des Nations Unies, les démocraties devraient diriger la réforme du processus d'accréditation des ONG par l'ONU visant à dépolitiser le processus.
Les questions vitales du droit à l'information et de la liberté d'Internet sont liées à la protection de l'environnement pour la société civile. Sans informations sur l'état des droits de l'homme et les performances du gouvernement, les décideurs politiques et les militants sont incapables d'identifier les déficiences et d'élaborer des stratégies pour y remédier. Il est également essentiel de poursuivre des objectifs plus larges de gouvernance plus ouverte, de responsabilité et de liberté des médias. Les démocraties en développement comme le Brésil, le Mexique et l'Inde ont une expérience significative sur ces questions qui en font des acteurs importants dans tout effort plus large pour faire avancer ce programme. La liberté numérique pour tous est un autre domaine de préoccupation croissante en raison de la pression croissante des quartiers chargés de la sécurité et de l'application des lois pour réglementer et contrôler la disponibilité des informations transmises et stockées numériquement. Cyberespionnage et cyberguerre, atteinte à la vie privée et censure ne sont que quelques-unes des manifestations de l'agitation en cours et susceptibles de s'aggraver. Le point de départ du consensus devrait commencer par comprendre l'Internet comme un bien public accessible, abordable et neutre. Les démocraties, en étroite collaboration avec les secteurs non gouvernemental et des affaires, devraient prendre l'initiative de garantir que les droits de l'homme sous-tendent les principes de gouvernance de l'Internet.
Problèmes de droit à la qualité de vie
Pendant trop longtemps, la communauté internationale a été divisée sur la manière d'aborder les éléments fondamentaux qui composent la qualité d'une vie décente et digne - une alimentation adéquate et nutritive, de l'eau potable et des installations sanitaires, des abris d'urgence et l'accès à des soins de santé de qualité pour tous. Les ingrédients d'une approche fondée sur les droits pour ces éléments de base de la survie sont là, mais les stratégies sont dispersées et manquent de ressources. Le plus grand défi réside dans les exigences financières et logistiques de la prestation de ces services publics dans des sociétés privées de ressources. Même dans les sociétés plus riches, les progrès sont irréguliers car les gouvernements ne peuvent ou ne veulent pas négocier avec des intérêts puissants opposés à la réaffectation des ressources nécessaires pour mettre en œuvre des services adéquats pour les plus démunis de la société. Néanmoins, des mouvements se renforcent aux niveaux national et transnational, dans les pays développés comme dans les pays en développement, pour faire respecter ces droits par le biais des tribunaux, des parlements et de l'action exécutive, et plusieurs démocraties qui ont investi dans l'expansion de ces services publics ont fait de grands progrès sur plusieurs indicateurs. du développement humain. Les démocraties les plus riches devraient tendre la main aux démocraties en développement comme le Brésil, l'Inde et l'Indonésie pour élaborer un programme de coopération internationale dans ce domaine, qui pourrait être lié à la mise en œuvre des objectifs de développement durable.
Plus largement, une convergence après la guerre froide se met lentement en place à l'appui d'une approche du développement fondée sur les droits qui reconnaît que de bons résultats dépendent des principes de responsabilité, de transparence, de participation et d'inclusion. Les objectifs de développement durable adoptés lors de l'Assemblée générale des Nations Unies de 2015 offrent une occasion de valider et d'approfondir le consensus naissant sur les liens entre gouvernance, droits et développement. Mais il reste encore beaucoup à faire pour traduire le langage de l'objectif 16 et d'ailleurs en objectifs mesurables et en financement durable.3
Dans cette large catégorie de droits économiques et sociaux, il existe un groupe qui mérite une attention particulière: les droits des femmes et des filles, en particulier à l'éducation. Ce droit à l'autonomisation est un fruit bas pour la communauté internationale des droits de l'homme et pour une bonne raison: les preuves sont accablantes que les États ayant des mesures élevées d'égalité des sexes sont moins susceptibles de subir une guerre civile, une guerre interétatique ou des violations généralisées des droits de l'homme que les États ayant faibles mesures. Nous savons également, grâce à des années de recherche en sciences sociales, qu'un investissement dans une éducation de qualité pour les femmes et les filles contribue directement à l'amélioration du niveau de vie des familles, à la réduction de la pauvreté, à des revenus plus élevés, à une meilleure santé, à une plus grande participation civique, à moins de corruption et à moins de violence (Legatum Institute 2014, p. 21-22). Malgré la large reconnaissance du droit universel à l'éducation, des millions d'enfants et d'adultes sont toujours privés de leur droit à une éducation de qualité. Pour ne citer qu'une statistique, moins de la moitié des pays ont achevé l'enseignement primaire universel en 2015 et seulement 70% devraient atteindre la parité des sexes dans la scolarisation primaire (UNESCO 2015). Les ODD contiennent des objectifs tangibles pour combler ces déficits et devraient mobiliser une grande coalition de parties prenantes des démocraties développées et en développement pour augmenter considérablement les ressources et les capacités pour les atteindre.

19 octobre 2022

Quand Google est condamné

Les 2,4 milliards de dollars de Google, c'est "une petite somme d'argent" pour le générateur de recherche, selon les 5 juges de Western Union qui soupçonnent son appel de la sanction de l'UE. L'ordinateur de Colm Apple, Eochaidh, un Irlandais déterminé, a fait allusion au jour 3 des procédures devant la salle d'audience générale de l'UE à Luxembourg, où une société de mille milliards de dollars lutte contre les régulateurs qui lui ont infligé une amende en 2017 pour discrimination injuste contre les petits concurrents de recherche de shopping. L'ordinateur de M. Eochaidh a demandé à l'avocat de Google de visualiser qu'il avait réalisé des économies de 120 € dans le budget arrière, mais a été condamné à une amende de 2,40 € pour avoir perdu des déchets. "Souhaitez-vous sauter les 2,40 €?" s'enquit le juge. L'avocat des moteurs de recherche Christopher Thomas a répondu qu'il serait, dans ce cas hypothétique, "frappé par la constatation d'infraction", formation référencement Google Lille ce qui pourrait être "une affaire très grave". M. Mac Eochaidh a également contredit l'affirmation de Google selon laquelle cette cour ne pouvait pas donner un excellent résultat sans la demande des régulateurs, expliquant la manière dont la salle d'audience pourrait déterminer pour y parvenir. Un jugement définitif dans l'affaire du tribunal pourrait être dans des semaines. Ce n'est pas la première fois que M. Macintosh Eochaidh aiguille Yahoo au cours des 72 heures d'audience sur l'appel. Jeudi, il a déclaré qu'il était «parfaitement évident» que cette organisation avait fait la publicité de ses propres services et rétrogradé d'autres - une étape vitale pour cette partie de l'UE. L'audience de Google est de loin la situation de profil d'utilisateur la plus importante à laquelle M. Mac Eochaidh a été associé étant donné qu'il a rejoint le tribunal dépendant du Luxembourg en 2017. Il a produit un statut en Irlande pour déclencher une enquête sur la préparation de l'agrément et la corruption politique qui dévoilé des remboursements destinés aux ministres des autorités. L'ordinateur Apple Eochaidh a exhorté le professionnel de la justice de Google à visualiser qu'il avait réalisé des économies financières de 120 euros dans son portefeuille, mais a été condamné à une amende de 2,4 euros pour avoir laissé tomber des déchets. "Souhaitez-vous manquer les deux,4 euros?" l'évaluation demandée. L'avocat des moteurs de recherche, Christopher Thomas, a répondu qu'il serait, dans ce cas hypothétique, «frappé par la localisation de l'infraction», ce qui pourrait être «un problème très grave». L'ordinateur Apple Eochaidh a également contredit l'affirmation de Google selon laquelle la salle d'audience ne pourrait pas améliorer une amende sans la demande des autorités de réglementation, expliquant exactement comment le tribunal pourrait éventuellement déterminer cela. Un jugement définitif dans la salle d'audience pourrait être dans plusieurs semaines.

21 juin 2022

A la découverte de la voltige

Lors de ma discussion avec Patrick Davidson dans le cadre de Focus, on ne croirait pas qu'il passe la majeure partie de son temps à l'envers dans un avion qui se déplace à des vitesses et effectue des manœuvres que l'on pourrait comparer à la façon dont les ovnis se déplacent dans les films de science-fiction. Je ne sais pas trop à quoi ressemble ce type d'individu, mais Patrick semble tout simplement être l'homme typique de Port Elizabeth qui apprécie un bon braai le week-end. Mais ce qui fait de Patrick le candidat idéal pour devenir l'audacieux parachutiste qu'il est aujourd'hui se trouve sous la surface, dans ses gènes. Son père était champion de voltige SA Unlimited - Limitless étant le plus haut niveau de compétence en voltige, un cran au-dessus de Sophisticated, et quelque chose de totalement fou. Avant même que la plupart des enfants de son âge ne montent sur leur première bicyclette, Patrick était attaché au fauteuil de copilote d'un seul des avions de son père, qu'il accompagnait dès l'âge de 5 ans. Il a également obtenu son permis de pilote avant son permis de conduire, sans perdre une minute, le jour où il a eu 17 ans, "l'âge le plus jeune auquel on est légalement autorisé à le faire". La voltige aérienne a vu le jour pendant la Première Guerre mondiale, lorsque les pilotes de chasse se sont rendu compte que le fait de pouvoir effectuer des manœuvres rapides et imprévisibles dans leur avion leur permettait d'éviter les avions ennemis. Les pilotes d'avion ont commencé à se constituer un arsenal de mouvements de voltige et, à la fin de 1916, un enseignement systématique des méthodes de voltige a fait son apparition. Après la guerre, ces pilotes capitalisent sur les compétences qu'ils ont acquises en participant à des spectacles atmosphériques et à des exhibitions de voltige. En 1934, le tout premier concours planétaire de voltige aérienne se déroule à Paris, avec 6 pays participants en Europe. En 1960, la voltige aérienne de compétition s'est développée au niveau mondial avec la création de la Commission internationale de voltige aérienne et le premier véritable tournoi mondial de voltige aérienne s'est tenu en République tchèque la même année. Il est clair que Patrick et son père accordent une grande importance à l'aviation et, lorsqu'ils ne font pas voler des avions, ils les achètent et les vendent. Ils ont généralement entre 10 et 20 avions dans leur hangar à Seaview, voltige aérienne Lyon Albon PE. Certains sont disponibles à la vente, d'autres non - par exemple, le Harvard où Patrick a passé son permis et le Gipsy Tiger Moth de 1929 qui appartenait à son grand-père. Bien que la grande majorité du temps de Patrick soit occupée par son entreprise de démolition de planètes, il essaie de faire un ou deux vols en avion le week-end et le matin avant le travail. Le fait d'avoir un avion s'avère parfois utile, même si : "Je fais voyager ma famille en avion ; je vole pour l'entreprise. Je vais sur des sites web dans tout le pays et parfois je considère les clients avec moi - comme un "avantage supplémentaire"'. Avant Red-colored Bull, je n'ai jamais participé à des événements atmosphériques, mais à d'autres événements et concours [de voltige]", explique Patrick, mais il voulait vraiment s'essayer à la course atmosphérique. Une connaissance de l'époque, Greg Ritz, l'a donc mis en contact avec le responsable local des athlètes de Red Bull, Josh Enslin. Il se trouve que, non seulement Red Bull essayait de combler le vide laissé par le décès de Glen Dell, l'ancien aviateur de la SA Atmosphere Competition, mais Josh avait déjà organisé une conférence avec les représentants mondiaux de Red Bull. Il leur a présenté un CV vidéo de Patrick sur YouTube - "Et 8 à 10 fois plus tard, j'ai reçu une invitation pour un camp d'entraînement au Red Bull Atmosphere Competition", déclare Patrick. En plus de s'assurer une entrée dans la course Atmosphère ce jour-là, il a également décroché un parrainage complet pour la voltige aérienne. Depuis lors, Greg est devenu mon superviseur et un bon ami", ajoute-t-il. Aujourd'hui, Patrick a deux mois d'Air Race à son actif, en 2018 et 2019, soit un total de 11 événements dans des pays du monde entier tels que la Fédération de Russie, la Hongrie, la Chine, la France, l'Autriche ainsi que les États-Unis. Pour préparer les compétitions et les courses, Patrick aime s'entraîner à l'aide du vélo, mais, dit-il, "à l'approche d'un événement, j'arrête de m'entraîner" pour éviter les blessures. Ainsi, son MTB est remplacé par un vélo rotatif. Et, sans surprise, "le temps passé en selle. Il n'y a pas d'alternative à cela. Cependant, les entraînements pour les courses aériennes sont différents de ceux des concours de voltige. Bien que la course aérienne nécessite beaucoup moins de planification que la voltige aérienne de compétition, elle est plus difficile à enseigner car "l'avion que j'ai est complètement différent de celui que je voyage pour votre course", déclare Patrick.

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